quinta-feira, 18 de novembro de 2010

Pêcheur d'Islande

En général, on ne voyait pas loin autour de soi; à quelques certaines de mètres, tout paraissait finir en espèces d'épouvantes vagues, en crêtes blêmes qui se hérissaient, fermant la vue. On se croyait toujours au milieu d'une scène restreinte, bien que perpétuellement changeante; et, d'ailleurs, les choses étaient noyées dans cette sorte de fumée d'eau qui fuyait en nuage, avec une extrême vitesse, sur toute la surface de la mer.

(Pierre Loti, Pêcheus d'Islande - ainda não tive tempo de traduzir)

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